Ou la difficulté de se mettre en couple quand on est (un peu) différent des autres.
Cette fameuse question, toutes les célibataires l’ont entendu, elle a son pendant masculin également. Il y a ceux qui s’en foutent, ceux qui en souffrent, et ceux qui sont partagés, comme moi.
Si je suis attachée à une notion, c’est bien celle de la liberté. Je suis fascinée par la recherche de celle-ci, par la conquête de cette utopie. La première idée, quand on sait qu’on n’est pas libre et que l’on cherche à l’être, c’est d’être libre socialement. En étant célibataire, je suis donc « seule » dans un sens, je peux donc faire ce que je veux, sans que personne ne m’en empêche, ne m’en dissuade ou veuille tout simplement participer. Je fais partie de ces gens qui peuvent aller faire du shopping, visiter un musée seul, qui peuvent partir à l’aventure accompagnée uniquement d’un appareil photo. Je fais également partie de ces gens qui peuvent prendre un repas seul chez soi sans avoir besoin de télévision, portable ou autre chose pour se divertir. Être seule avec moi-même ne me fait pas peur.